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La France continue de renforcer son approche partenariale et inclusive, notamment l’action internationale liée aux ODD des OSC. Afin de pallier les inégalités de genre, la France développe par ailleurs sa diplomatie féministe.

La politique d’aide au développement française s’inscrit dans le cadre multilatéral que s’est fixé la communauté internationale avec l’Agenda 2030 notamment. Les fonds mobilisés en direction d’actions climatiques ou pour la biodiversité sont significatifs.

L’engagement en aide publique au développement (APD) de la France, en ligne avec les objectifs de l’Agenda 2030, a atteint des records en 2022, malgré un déficit de financement à l’international lié aux nombreuses crises mondiales.

L’enjeu 6 « Œuvrer au plan européen et international en faveur de la transformation durable des sociétés, de la paix et de la solidarité » a été marqué par d’importantes évolutions ces dernières années : renforcement inédit des moyens de notre politique de développement et alignement de notre action sur le cadre fixé par l’Agenda 2030.

Découvrez les axes d’action identifiés par les participants à la conférence contributive pour favoriser l’atteinte de cet enjeu.

Outil-phare de la participation citoyenne, l’utilisation d’Internet a ses limites et révèle l’existence d’une fracture numérique dans l’ensemble du territoire.

Des outils sont développés afin de promouvoir l’Agenda 2030 auprès des populations, et ce dans l’ensemble des territoires.

Pour rendre effective la participation citoyenne à l’atteinte des ODD, différentes initiatives sont déployées sur le territoire national dans l’objectif de favoriser le dialogue et la réduction des inégalités territoriales.

L’Agenda 2030 est un outil pour les collectivités territoriales et les citoyens, afin de mettre en cohérence les politiques et les actions au service de la durabilité.

Les citoyens sont des acteurs essentiels pour « faire l’Agenda 2030 ». Les démarches de participation citoyenne se multiplient et la France, riche de ses territoires, encourage l’innovation au sein de ces derniers.

Découvrez les axes d’action identifiés par les participants à la conférence contributive pour favoriser l’atteinte de cet enjeu.

La pandémie de Covid-19 a révélé les défaillances du système de santé notamment le manque d’infrastructures et de personnel, en particulier dans certains territoires.

Des efforts restent à fournir sur la santé mentale et sur le niveau d’éducation sanitaire et alimentaire. Des ressources faibles et un retard d’accès à l’information peuvent entraîner des comportements dommageables pour la santé (obésité, malnutrition).

Le système de santé universel français permet de réduire les inégalités au sein de la population et sur le territoire. Des progrès se dessinent en outre vers la démocratisation d’une alimentation de qualité.

L’enjeu 4 sur la santé et l’alimentation est étroitement lié aux inégalités et à la précarité. La France met l’accent sur l’accès aux soins pour tous, la mise en place d’habitudes d’alimentation saines et la lutte contre les pollutions qui nuisent à la santé.

La France bénéficie d’un système de santé universel et la majorité de la population dispose d’un accès satisfaisant à l’eau et à la nourriture. Des inégalités de santé se creusent cependant dû à un manque d’accès à l’information pour certaines catégories de population.

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Les enjeux d’éducation au développement durable dans l’enseignement supérieur doivent être généralisés afin de répondre au besoin de métiers qui évoluent.

Les actions mises en avant ici sont celles qui ont été adoptées pour faciliter, en milieu scolaire, l’appropriation d’une vision transversale et une représentation du développement durable allant au-delà de la protection de l’environnement et de la lutte contre le changement climatique.

La France a des résultats positifs en matière d’éducation : instruction obligatoire dès 3 ans, réduction de la part des jeunes sans diplôme, encouragement de l’apprentissage en milieu professionnel et scolarisation des élèves en situation de handicap.